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Mission Secrète
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23 novembre 2010

SANOKU NARKOTIK (Lun 25 Oct - 23:33)

Faisons une petite pause et retournons quelques heures avant le début de soirée...Alors que le groupe de San Koku est toujours à Volpoisson, ayant pour but de prendre le bateau vers l'île Sandouiche, voilà qu'un petit pépin vient reporter la date du voyage vers l'île....

Steppe des Karappatis Sud - Big City Country - Volpoisson

Port de Plaisance


- King et des Poussières : Traîne péniblement les bagages. C'est super lourd ces trucs là...J'en ai marre ! Et surtout l'aut' là ! Elle a pris combien de garde robe !? Ça valise est ÉNORME ! Rah j'en ai marre moi ! J'ai hâte qu'on parte pour Sandouiche !
- Marin : Vous voulez partir pour Sandouiche Monsieur ?
- King et des Poussières : Pas que moi, on est tout un groupe à se rendre là-bas.
- Marin : Vous êtes combien ?
- King et des Poussières : Un fantôme, un truc qui fait un smiley bizarre, un mangeur d'endives, un sale gamin, deux super-héros, deux pervers, deux soumises, une salope, un mec qui sait pas dominer sa chérie et moi-même.
- Marin : On vous sent très attaché à eux.
- King et des Poussières : Effectivement. J'ai hâte d'avoir fini ce que j'ai à faire avec eux, car j'ai encore une personne à chercher.
- Marin : Qui donc devez-vous rechercher si ce n'est pas indiscret ?
- King et des Poussières : Je dois retrouver mon maître, Mémé, qui a disparu il y a déjà plusieurs années. C'est celle qui m'a appris à me battre avec les balais et les appareils ménagers, mais j'suis tellement nul que j'ai besoin de gros dinos pour me défendre.
- Marin : Des dinos ? Vous parlez des Dinosaures géants volants qui font des solos de grattes ?
- King et des Poussières : Vous les connaissez !?
- Marin : Ils parcourent le ciel du Continent Mammouth, se sont les garants du Rock et du Heavy Métal depuis des années. On peut les rencontrer de temps en temps dans les hautes montagnes. Le bateau où je suis matelot fait parti des nombreuses embarcations qui font la croisière autour de la Mer Destinée. Et il y a justement un pays, le Royaume Célèste et Terrestre des Morses, où l'on peut entendre dans les nuages qui couvrent les sommets des glaciers, quelques solos de grattes, quand les dinosaures sont dans les parages. Ils sont très amis avec les Morses de ce Royaume mais reste relativement discret et ne se montre que rarement aux humains. C'est une chance de les rencontrer.
- King et des Poussières : Enfin une chance... Mais sinon, là vous venez de parler d'un royaume avec des Morses !? Ca existe ?
- Marin : Bien sûr, ils ont leur propre territoire. Et je vous rassure, ils sont relativement pacifiques. D'ailleurs, la croisière leur apporte un flux de touristes non des moindres, venus écouter le son des guitares et découvrir les spécialités locales de la région, et le paysage ! Ah ! Il est magnifique. Le seul chose qui puisse poser un léger problème est leur langage, ils parlent en morse.
- King et des Poussières : Et c'est compliqué à comprendre ?
- Marin : Non, heureusement. En réalité, ce n'est même pas un problème en fait, car tout le monde peut comprendre ce qu'ils disent.
- King et des Poussières : C'est bien ça, que des avantages à aller chez eux. Je crois que j'aimerais bien y faire un tour, en simple touriste. Mais avant, l'Île Sandouiche ! Y'a un bateau qui y va dans pas longtemps ?
- Marin : Ah pour ça il faudra attendre demain matin.
- King et des Poussières : Comment ça ? Y'a pas de navette ?
- Marin : Si si, enfin normalement la prochaine navette aurait dû partir dans 40 minutes, mais nous avons eu un problème en salle informatique. Un de nos deux centrales de contrôle de notre bateau est HS, et le dépanneur ne vient que dans la soirée pour tout réparer, mais cela devrait durer toute la nuit.
- King et des Poussières : ON EST BLOQUE ICI JUSQU'À DEMAIN ?
- Marin : J'en suis désolé.
- King et des Poussières : Rah. Quelle dommage. On va pas pouvoir finir rapidement l'île Sandouiche pour aller voir les Morses !
- Marin : Hum, je me demande s'il n'y a pas un autre ferry qui va arriver...
- King et des Poussières : Ah ? Y'en a un ou pas ?
- Marin : Attendez ! Je crois bien qu'il y a un autre navire qui devrait arriver en fin d'après-midi. Mais oui ! Je vais aller voir avec mes collègues. Ne bougez pas. Part vers la calle voir des amis marins.
- King et des Poussières : ON VA POUVOIR REPARTIR ! YEPEE !
- SCSJBM : Alors King ? On embarque quand mon sandouiche ?
- King et des Poussières : Ah vous voilà enfin. ET JE SUIS PAS UN SANDOUICHE !
- Bobobo à la tête : J'ai été vérifié, le prochain navire a été annulé. Donc on prendra le suivant.
- King et des Poussières : C'est bon je suis au courant .___.
- Margaux : Tu as réussi à trouver le courage de demander à quelqu'un quand on partait ?
- King et des Poussières : T'ES LA TOI AUSSI ?
- Margaux : On a été faire les courses avec choupi : )
- San Koku : Avec un paquet de sacs de vêtements. J'en peux plus... Pose tout à côté des bagages.
- King et des Poussières : MAIS POURQUOI T'AS ACHETÉ TOUT ÇA ?
- Margaux : Hey ! J'ai besoin de pouvoir changer de tenue chaque jour : ).
- King et des Poussières : Pas besoin de 365 jours de fringues ! ÇA SE LAVE BORDEL !
- Bobobo à la tête : Si tu veux y'a la mer. Et on a acheté du savon.
- King et des Poussières : Mais j'veux pas le laver !
- Margaux : Pourtant t'en a bien besoin, tu pues la transpiration : ( ! Choupi vient là !
- San Koku : Ah non...Je ne sers pas de cobaye pour tes nouveaux parfums...
- Gentleman (en tutu rose) : On voit de suite qui est le dominant dans le couple : D
- Joueur de Hockey : Oh ça oui : D
- King et des Poussières : Oh non, pas eux .___.
- Marin : Revenant avec un dossier dans les mains. Ah ? Vos amis sont enfin arrivés ?
- King et des Poussières : Mais c'est PAS mes amis !
- Joueur de Hockey & Gentleman (en tutu rose) : MARIN C'EST TOI ? O o O
- Marin : Qui sont ces deux hurluberlus ?
- King et des Poussières : Les deux pervers du groupe.
- Joueur de Hockey : C'est quoi cette réputation que tu nous fais :' (. On est gentil pourtant.
- Gentleman (en tutu rose) : Tu nous reconnais pas Marin ?
- Marin : Je crois que vous vouez tromper de personne messieurs heu...bizarrement habillés.
- Gentleman (en tutu rose) : C'est pas Marin :' (
- Joueur de Hockey : Sale imposteur !
- Marin : Il était comment votre ami ?
- Gentleman (en tutu rose) et Joueur de Hockey : Avec un tutu rose.
- Marin : (En TUTU ROSE !? Mais c'est quoi ces mecs ?) Heu...Non il n'y en a pas dans les parages...A part vous...
- Gentleman (en tutu rose) : Bon bah...Va falloir encore chercher...
- King et des Poussières : En tout cas, merci pour vos infos.
- Marin : Pas de problèmes ! Je vous souhaite un bon voyage à tous. J'ai ma pause de finie, je dois aller retourner bosser sur un navire de la compagnie, j'espère vous revoir prochainement !
- King et des Poussières : Merci à vous, j'ai enfin trouvé où passer mes vacances : D.
- San Koku : Ah ? Et c'est où ?
- King et des Poussières : Ça vous regarde pas !
- Margaux : Tu veux aller à Playland dans les attractions pour enfants ? : )
- King et des Poussières : (J'ai hâte de plus la voir celle-là...)
- Bobobo à la tête : Au fait, où sont les sales gosses ?
- SCSJBM : OUAIS IL FAUT QU'ILS MANGENT DES SANDIWCHS !
- Margaux : J'ai demandé à Perine et Marie-Blandine d'aller les chercher.
- Bobobo à la tête : Tu gères bien tes troupes. J'aimerais bien avoir un troupeau de mouton moi.
- SCSJBM : Et je ferais le Loup-Sandwich : D Niahaha !
- Bobobo à la tête : NAOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOO (Loup-Sandwich Edition)

Le cri de Bobobo à la tête raisonna dans tout le port de Volpoisson...Comme les cris et les pleurs qui déchiraient le ciel sombre de Xeltophamnie...

En effet, le pays, qui ne s'était toujours pas remis de l'attaque de la Milice par Zeller et ses sbires, vient cette fois-ci de tomber dans le chaos. Pas de super héros, pas de dinosaures pour les aider.
Voilà que les deux frères du soleil et de la lune, Django et Sabata, arrivent alors pour prendre d'assaut le Château. Nounours, en tant que chef-chef et responsable de Xeltophamnie, à décider de ne pas opposer de forces devant la puissance déployée par les deux frères, du moins indirectement. Il avait envoyé Quader et Charles à la rencontre des frères pour les contrer, et fait commencer à sortir tous les villageois des maisons au premier boulet envoyé sur eux, mais le bombardement intensif a empêché toute évacuation rapide et efficace.

A l'arrivée des deux frères dans la ville, détruite en grande partie par Tiramisu et les lance-missiles stationnées sur le Mont de la vérité. Un vent exceptionnellement favorable a permis aux troupes Miliciennes de l'Est d'assiéger en grande partie Xeltophamnie. Toutes les villes principales, excepté Désolé Bébé ont étés attaqués. Il ne reste plus qu'à Django et Sabata d'en finir avec le château, et Nounours.


Royaume de Xeltophamnie - Cours Est du Château de Nounours

Le ciel est sombre sur le Château. Vent fort, glacial, qui vient balayer les joues du petit Nounours, assis sur les genoux de Ivan Saraza, toujours en fauteuil roulant.

- Nounours : Sanglotant. Alors....On a.... perdu ?
- Django : Vous devez vous rendre sur le champ, où nous serons obligé de vous décimer.
- Sabata : Soit vous acceptez les closes du marché avec l'Alliance de l'Est et ainsi entré sous le joug de la Milice sans autres victimes, soit nous vous exterminons.
- Solaris : Agenouillé, frappant le sol, en pleurs. Pourquoi ça nous arrive à nous !? Pourquoi maintenant ? ET QUADER ? QU'AVEZ-VOUS FAIT DE LUI ?
- Django : Il est mort en grand combattant. Vous pouvez être fier de lui, tenir tête aux combattants Miliciens n'est pas tâche facile.
- Sabata : Retire le sang qu'il a sur le visage. Il a tout de même réussi à m'égratigner le visage. Mais nous avons gagné.
- Django : Nous avons gagné. Et maintenant, Nounours, signé le traité de l'Alliance de l'Est si tu ne veux pas voir un carnage arrivé à ta populace.
- Nounours : ...Je vais le faire, je vais signer le traité. Allons dans le château...
- Django & Sabata : Très bien. Allons signer ça dans le château.

Les deux frères, Ivan Saraza et Nounours partent vers le château, laissant Solaris, quelques villageois et les autres rescapés, qui sortent alors des décombres...

- Ernest : S'extirpe d'un gravats de taules. Argh...Solaris ! Qu'est-ce qui s'est passé ?
- Olivia : Cri dans tous les sens, affolé. CHARLES ! CHARLES ! OU ES-TU ? MON MARI ! OU EST-IL ? NOOOOOOOON ! PAS LUI !
- Samina : En sanglots. PAPAAAAAAAAAAAAAAAAAA !
- Ranger : Sort des décombres. Ah purée, rien de cassé Igor ?
- Igor : Sort à son tour. Non ça va, heureusement qu'on a eu le temps de se mettre dans le recoin de la pièce, sinon on finissait en crêpe.
- Solaris : Ses larmes s'échappant, incessamment, de son visage. Pourquoi cela nous arrive à nous... Je dois faire quelque chose... Prends une expression haineuse et déterminé.
- Ernest : Hey Michel-Betrand ! T'as pas vu Mikky ?
- Michel-Betrand : Pas du tout, il était même pas là tout à l'heure quand je l'ai appelé.
- Ernest : Mais merde ! MERDE ! Il est où ? En plus sa femme et son gosse doivent avoir étés bombardés aussi ! Ils étaient dans sa maison.
- Michel-Bertrand : J'espère qu'ils ne sont pas morts sous les décombres...
- Ranger : Nous sommes très mal.
- Igor : On est fini, les gamins ne viendront pas cette fois-là...
- Solaris : Se relève. VOUS VOULEZ NE RIEN FAIRE ? On va se battre oui ! BATTONS-NOUS !
- Ernest : Solaris, reste calme ! T'as bien vu, même Quader qui est partit les combattre en amont a perdu. Ils sont trop forts pour nous. Si on veut survivre on doit se plier à leurs ordres pour le moment, on tro...
- Solaris : Lui coupe la parole et le tient par le col de sa chemise, remplis de poussières dû aux gravats. On se fait marcher dessus comme des moins que rien ? Tu aimes te faire piétiner dans la boue ? Je préfère encore crever que de laisser mon pays à son triste état !
- Ernest : Lui enlève sa main. Libre à toi d'être suicidaire Solaris, mais là on est en crise, on est au plus bas !
- Solaris : Et attendre patiemment que ça remonte tout seul ? Ils vont nous exploiter ! Nous tuer à la tâche ! On va juste servir au profit de cette Milice, alors autant leur donner le moins possible, c'est-à-dire nous !
- Olivia : JE VEUX VENGER MON MARI !
- Ranger : Prenons ce qu'il y a encore comme armes magiques et faisons-leur face ! Je crois que la poudre magique n'a pas été touché, je vais aller vite la chercher. Manel tu vas m'aider à utiliser ?
- Manel : Je te suis.
- Igor : Il faut aussi évacuer tous les habitants avant que les forces Miliciennes qui nous ont bombardés refassent assaut. Crie à Manel. Tu as encore ta longue-vue de poche ?
- Manel : Crie en chemin. Oui, j'ai eu le temps de l'améliorer !!! Et ce grâce aux poudres magiques que nous avaient laissés Margaux !!!
- Ernest : Je n'ose même pas imaginer ce qu'il se passera quand elle apprendra ce qui s'est passé.
- Solaris : Il faudra utiliser toute la poudre magique.
- Ernest : Tu veux tout gaspiller ?
- Solaris : Bien sûr. Au moins ils ne mettront pas la main dessus non plus.
- Igor : Cela leur évitera de l'utiliser à leurs fins militaires pour la suite. Je crois que ce cadeau de Margaux va nous être précieux...Même si on ne pourra pas faire grand chose contre eux...
- Solaris : Je suis sûr qu'elle sera vengé ce qu'on aura enduré, ne vous inquiétez pas. Retire les dernières larmes coulant de ses joues. ALLEZ ! TOUT CEUX EN ÉTAT DE COMBATTRE ! PRENEZ LE RESTE DE POUDRE MAGIQUE QU'IL NOUS RESTE ! ET JE VEUX DU MONDE POUR ÉVACUER LES MALHEUREUX ENCORE BLOQUE SOUS LES DÉCOMBRES ! ON DOIT PARTIR EN MOINS DE QUATRE MINUTES !
- Ernest : Quatre seulement ?
- Solaris : On a pas le choix, Nounours n'arrivera sûrement pas à gagner plus de temps que ça... Ils veulent notre pays pour son emplacement stratégique, sa poudre magique, sa main d'œuvre. Si on arrive à évacuer tout le monde et que le reste qui combats peut utiliser toute la poudre, on arrivera à leur mettre des bâtons dans les roues. De plus, ceux qui nous ont attaqués doivent manquer de munitions, car sinon on serait encore bombardés. On va profiter de cette situation au mieux. Fais-moi confiance.
- Ernest : J'espère que tu dis vrai...Allez en avant !

Château de Nounours - Nouvelle Salle de Jeux.

- Django : Posons-nous sur la table.
- Nounours : Tu peux me lâcher Ivan. Il pense. *Heureusement que cette salle est insonorisé*
- Ivan Saraza : Vas-y. Nounours saute des genoux d'Ivan et va s'asseoir sur sa petite chaise. Il pense.[:I] *On doit gagner le plus de temps possible pour laisser à Solaris le temps de se préparer*
- Nounours : [i]Saisis un petit stylo.
Montrez-moi donc le certificat.
- Django : Pose le contrat d'Alliance sur la table. Tout est écrit dessus.
- Nounours : Hum...Feuillette longuement les pages. D'accord....
- Sabata : Si vous pourriez aller vite, nous n'avons pas toute la journée.
- Nounours : Rah, mais c'est compliqué voyons ' u '
- Django : Soyez sérieux, et n'essayez pas de nous duper. Nous savons vos qualités d'interprétation directe des situations géopolitiques du monde, et aussi vos stratagèmes pour duper vos ennemis.
- Nounours : Mais l'histoire m'a toujours passionné, avec les jouets ' u '.
- Django : Il n'y a plus de temps pour jouer désormais, vous avez perdu la bataille, alors signez désormais.
- Nounours : Heu...Non ' u '.
- Sabata : Comment !?
- Django : Reste calme frérot. Vous devez signer, où votre pays sera rasé.
- Nounours : Vous ne le ferez pas entièrement, vous avez encore besoin des ressources que nous avons.
- Django : Oui, nous avons besoin d'un maximum de fonds pour financer nos armées.
- Nounours : Ce n'est pas ça dont je parle.
- Django : C'est-à-dire, expliquez-vous tout de suite.
- Nounours : Vous savez très bien ce que pays est capital pour vous, sur le plan stratégique, mais aussi sous un autre. Et ce n'est pas financier, c'est richissime, ainsi qu'une certaine poudre "miracle".
- Django : De la poudre magique ? Comment un pays comme le votre peut en avoir ?
- Nounours : Je vous croyais mieux renseigné ' u '.
- Django : Comment !? Ne doutez pas de nous !
- Sabata : Frérot, on perd assez de temps avec lui, il ne veut pas coopérer, employons donc la manière forte. Le mauvais temps m'est favorable.
- Django : Je sais, mais là on parle de la poudre magique, ce qu'on a dans nos Solar et Lunar Guns.
- Nounours : J'ai toujours été un passionné de pierre précieuse ' u '. Vous le savez bien.
- Sabata : Oui, c'est un peu votre troisième passion. Change brusquement de ton. Devenant plus menaçant. Et vous allez signer ce papier immédiatement et nous remettre la réserve de Palladium et de poudre magique de votre pays. Ça suffit les entourloupes l'ourson en peluche !
- Django : Reste calme... Ils ont refusés de participer à l'Alliance de l'Est, tant pis. Sort son Solar Gun sur Nounours. Nous allons nous servir nous même. Nous chercherons après avoir dépouillé toute ta populace.
- Nounours : ENCORE FAUDRA-T-IL SORTIR D'ICI VIVANT ! Sort son bazooka. IVAN !
- Ivan Saraza : Sort une télécommande et appuie sur un bouton rouge. Autodestruction du Château dans 2 minutes !
- Django : Ils nous ont piégés ! Tire sur Nounours avec son Solar Gun. TON LUNAR GUN SABATA !
- Sabata : Je...Je ne l'ai pas !!!
- Django : Comment ça !?
- Nounours : AAAAAAAAAAAAARGH Meurt.
- Ivan Saraza : NON NOUNOURS !
- Django : On doit s'enfuir ! Frérot !
- Sabata : Frérot ! Prends vite son frère et saute par la fenêtre.

Une gigantesque explosion retentit alors devant les villageois, et entraîna le cadavre de Nounours et Ivan Saraza avec.

Royaume de Xeltophamnie - Cours Est du Château de Nounours

- Solaris : UNE EXPLOSION ! TOUS A TERRE !

Des débris volent dans tous les sens et viennent heurter le reste des habitants et des habitations encore debout. Il ne reste plus que le gouffre sans fin, et les ruines de l'ancien Château de Nounours.

- Solaris : Se relève. VOUS ALLEZ BIEN ?
- Ernest : Ouais ! Mais c'était quoi ça !
- Django : Je crois que c'était une explosion mon cher.
- Ernest : QUOI ? Se retourne.

Ernest se prends un magnifique coup de poing en plein foie. Il est éjecté a plusieurs dizaines de mètres dans les gravats des maisons.

- Solaris : ERNEST !
- Ernest : Argh.... []Crache du sang.[/i] Je suis déjà out... ?
- Sabata : Je déteste qu'on se paye ma tête. Et encore plus quand je vois que vous utilisez la poudre magique laissé par Margaux pour améliorer vos armes ! Fichtre, on a laissé passer ça.
- Django : Sabata...J'ai comme l'impression qu'une partie d'entre eux a déguerpi.
- Sabata : Ce pays ne nous servira plus à rien. Allons vite chercher le Palladium et partons à Talaosis.
- Solaris : Du Palladium ? Attaquer Talaosis ? Alors vous en voulez à Big City Country ? Nous ferons tout pour vous empêcher de passer. Nous combattrons jusqu'au dernier pour notre pays ! Se met en garde.
- Django : Et vous comptez faire quoi à 18 contre nous ?
- Igor : Le nombre fera la force. On a pas peur de vous.
- Sabata : J'ai bien peur que ça ne s'applique pas avec nous ! VOUS ALLEZ CREVER !

Sabata s'élance alors contre Igor, Melvin et Richardocarsto, qui n'eut même pas le temps de frapper avec sa hache amélioré qu'il était déjà out, surpris par un coup de pied retourné en pleine côte, qui lui en brisa plusieurs et le fit voler à plusieurs mètres à la ronde. Igor et Melvin, qui ont augmentés leur vitesse et leur force par la poudre, commence à engager un féroce combat contre Sabata qui pare sans relatif problème les enchaînements acharnés et fou furieux des deux hommes.

Django se retrouve encerclé par le reste de la troupe, qui s'élance alors vers lui. Il brandit alors lentement son Solar Gun vers le ciel. Solaris, Ranger, Malcomat, Michel-Bertrand et Manel s'écartent à temps. Django invoque, par la puissance de la lumière, la foudre qui retentit sur son Solar Gun, et foudroie alors tous les villageois dans un rayon de plusieurs mètres qui gisent au sol, agonisants.


- Ranger : NOOOOOOOON MES AMIS ! Pourquoi ont-ils étés dans la précipitation ?
- Solaris : De la foudre...Ça ne pardonne généralement pas...
- Sabata : Parle en ne faisant à peine attention aux attaques d'Igor et Melvin. Django ! Pourquoi avoir utilisé ton Electrovoltage dès maintenant ? Il n'étais pas assez chargé et ils ne sont pas morts ! Voilà ce que ça fait de vouloir faire tout dans la précipitation ! Délecte donc toi d'un bon combat rapproché. Ça n'a pas de saveur de les achever comme ça.
- Django : Tu oublies qu'on doit encore rejoindre d'autres troupes vers Talaosis. Je n'aime pas attendre comme ça.
- Sabata : C'est vrai. Mais laisse-moi encore deux trois minutes encore. ALLEZ LA C'EST MOU !
- Melvin : (C'est mou ? Je suis à mon maximum ! J'en peux plus ! Il est trop fort !)
- Django : Très bien. A qui le tour ?
- Solaris : Ça ne sert à rien d'y aller tous. On doit élaborer une stratégie.
- Ranger : Heu...Sauf que là on a plus le temps !
- Michel-Bertrand : Malcomat...
- Malcomat : Oui, ALLONS-Y ! Cours avec Michel-Betrand vers Django.
- Django : Range son Solar Gun. Approchez. Vous allez avoir l'honneur de mourir des mains de Django le soleil.

Malcomat, armé de sa truelle en dent de scie, conféré par les pouvoirs magiques de la poudre, s'élance vers Django, qui saute alors au dernier instant pour atterrir sur le dos de Malcomat, part un violent coup de genou qui lui éclate une vertèbre. Michel-Betrand avec sa planche en acier est arrêté en plein élan. Lui, qui a pourtant une force brute sans pareil chez les villageois, vient de se faire arrêter son brandissant coup digne d'un base-balleur par Django, qui a été obligé de mettre les deux mains pour le bloquer.

- Django : Quelle force ! C'est rare de trouver de si valeureux combattants, mais pas assez puissant contre moi.

Il fait valser Michel-Betrand dans les décombres, qui part s'encastrer dans les plaques de taules, il est hors combat.

- Django : C'est déjà fini ? Regarde Solaris. Que !?
- Ranger : C'est bon. J'ai utilisé toute la poudre magique. Tombe de fatigue. C'est tout ce que je peux faire.
- Solaris : Je sens une grande puissance en moi. J'espère que ça servira. Il brille.
- Django : Étonnant, le combat va enfin être un peu plus intéressant. Profite-bien de cette poudre, car elle t'auras servi à faire durer plus longtemps ta mort !
- Sabata : Oh, il brille ! On dirait une petite naine brune contre le soleil et la lune.
- Django : Tu en as fini des deux autres ?
- Sabata : Ça devenait lassant, alors je les ai assommé l'un contre l'autre pour te regarder combattre.
- Solaris : IGOR ! MELVIN !
- Sabata : Rassure-toi, on vous tuera tous d'une traite à la fin.
- Solaris : JE VAIS VOUS METTRE EN CHARPIE !
- Django : Allez, laisse-toi aveugler par la colère, ça ne sera que plus distrayant pour nous.
- Sabata : Vous savez très bien que nous vaincrons à la fin.
- Ranger : Pas...sûr. Reprends son souffle. Car j'ai tout dépensé en poudre magique.
- Sabata : Tss...Et une partie du butin encore en moins.
- Solaris : Un butin ? Vous ne vouliez pas que ça ?
- Sabata : C'était un petit plus que nous voulions utiliser pour nos propres projets. (Note de l'Auteur : Il ment, évidemment, va pas dire qu'ils savaient pas que y'en avait...)
- Manel : Allez Solaris, il faut que tu gagnes.
- Sabata : Laisse-le moi Django.
- Django : Encore de la mise en scène. Mais que ça ne dure pas plus d'une minute où j'interviens. On a encore à prévenir de la réussite de la mission à nos troupes.
- Solaris : Manel, Ranger, écartez-vous, cela sera intense.
- Sabata : Allons-y.
- Solaris : J'VAIS TE FAIRE CREVER !

Solaris court alors vers Sabata, jusqu'à changer brusquement de vitesse et de direction, pour aller hurter la joue droite de Sabata, qui surpris par la vitesse de son adversaire, fait un bon en arrière en se tenant la joue.

- Django : SABATA !
- Sabata : Je sais. Je n'aurais jamais pensé que l'effet de la poudre magique pouvait être aussi puissant. Je vais devoir y aller au maximum.
- Solaris : (Son maximum ? Qu'est-ce que ça sera ?)

Sabata se concentre quelques secondes pour foncer tel un frisbee vengeur sur Solaris et lui décalquer un pain en plein dans la mâchoire. Celui-ci est légèrement assommé sur le coup, et au moment de retrouver ses esprits, celui-ci l'envoi valser dans le décor par un magnifique retourné.

Solaris se ressaisit et rebondit sur la taule pour frapper son adversaire, qui esquive. Celui-ci en profite pour lui donner un violet coup de coude dans le dos, mais Solaris a le temps de se retourner, de parer, et de l'envoyer bouler plus loin par un magnifique projeté, digne d'un karatéka qui fait apprendre aux poulets à voler.


- Django : Je dois dire que l'auteur utilise des métaphores quelque peu étranges pour ce combat épique, et qu'il reste 30 secondes avant que j'entre en scène.

On fait ce qu'on peut hein pour ne pas faire de la redondance ! Quand même.

Le combat se fait plus boxing. Les coups pleuvent et aucun des deux ne veut lâcher le morceau, que ce soit l'aile ou la cuisse. Solaris réussit dans les dernières secondes à frapper violemment Sabata au visage, qui saigne alors de la joue, jusqu'à ce que Django sorte de son inactivité pour coller un bon coup de coude dans l'épaule gauche de Solaris, lui déboîtant celle-ci.

- Solaris : S'effondre à terre. AAAAAAARGH ! J'AI MAL !!!
- Sabata : Django ! C'était mon combat !
- Django : On voit que la nuit n'est pas tombé. Il a beau faire mauvais temps, tu n'as pas toute ta puissance, alors que je suis en pleine forme.
- Sabata : Je suis désolé frérot.
- Django : Ce n'est pas grave, laisse-moi en finir avec eux.
- Ranger : Quoi ?

Django tire en direction de Ranger qui réussit à esquiver juste à temps la balle...qui explose alors au contact du sol. Il tombe inconscient.

- Manel : HAAAAAAAAAAAAAAA Commence à courir.
- Django : Il n'existe pas d'échappatoire. Fait aussi exploser le sol à côté de Manel avec son Solar Gun.
- Solaris : NOOOOOOON MANEL ! RANGER !
- Django : Vous vous êtes bien défendus. Et tu vas être le premier à mourir. Pointe son Solar Gun sur la tête de Solaris.
- ??? : Et si tu touches encore un de mes potes tu es bon pour te retrouver en pièces, putain d'enculé de connard d'enfoiré. (Note de l'Auteur : Et après on veut laisser les jeunes lire cette fic...)
- Sabata : DJANGO !

L'homme qui fait irruption dans la Cour Est, prend le fusil de Django et l'écrabouille dans ses mains, avant d'en jeter la carcasse par terre et de la piétiner avec son pied droit.

- ??? : J'crois qu'on a encore à faire la deuxième mi-temps bandes d'enculés. Vous allez payer pour Charles.
- Sabata : Charles ? Ce n'était pas toi ?
- ??? : Il a pris ma couverture contre vous, pour que je puisse juger de vous. Alors les justiciers de l'ombre de mes deux, z'allez prendre cher maintenant contre moi. Charles a eu le temps de m'expliquer comment bousiller vos jouets en plastiques.
- Sabata : Je croyais que le sable que je lui avais fait bouffé l'avait tu à jamais.
- Django : Quel grossier personnage.
- Quader (???) : Parce que tu crois que je vais être poli avec des connards dans votre genre ?
- Django : Allez, finis les bêtises, on va le finir.

Django et Sabata partent alors en trombe sur Quader qui sort alors, contre toute attente, le Lunar Gun de Sabata.

- Sabata : !!!!! MON LUNAR GUN !
- Django : Oh oh...
- Quader : J'l'ai retrouvé dans le sable raclure, et c'est toi qui va morfler !

Quader tire alors un puissant rayon lumineux magique, il use alors toute la poudre contenu dans le pistolet contre Django et Sabata qui sont propulsés dans les ruines des maisons. Alors que la poussières retombe, plus aucun bruit ne se fait retentir. Il semble bien que les deux frères viennent d'être vaincus.

- Quader : Pfiou...La puissance de ce genre de merde me surprendra toujours. Détruis le Lunar Gun de Sabata. Bon Solaris tu peux te lever ?
- Solaris : Se redresse péniblement. Il m'a enfoncé l'épaule...Argh...
- Quader : Allez chiffe-molle, faut qu'on récupère tout le monde et qu'on déguerpisse de là avant qu'ils se réveillent. Enfin on devrait avoir une bonne heure devant nous quand même. Ernest tu peux t'lever ?
- Ernest : Debout, marchant lentement vers Quader. C'est bon, je peux marcher.
- Quader : Ok, Solaris tu vas l'aider. Je vais aller voir ce qui sont en état de marcher.
- Mystérieux Milicien : Ah...Applaudit trois fois. C'était un beau combat. Merci de m'avoir autant diverti.
- Solaris : Qui est-ce encore !?
- Quader : On peut savoir à quoi tu joues l'escroc ? T'es de la Milice non ?
- Mystérieux Milicien : Si vous pourriez éviter de dire que j'suis dans les parages ! Myrmellon doit croire que j'suis occupé les gars, ok ?
- Quader : Il faudrait nous dire dans quel camp t'es au juste Enry. C'est toi qui m'a passé le pistolet de Sabata après la mort de Charles.
- Solaris : Comment ça !?
- Enry (Mysétieux Milicien) : Officiellement je suis avec la Milice, officieusement, je fais un peu ce que je veux en fait. Tu veux du feu ?
- Quader : Des cigarettes crades là ? Non merci. On doit encore retrouver vite fait les autres villageois.
- Enry : S'allume une cigarette. Tu sais, le temps que la clique qui est sur la montagne est capté que les deux frères qui se croient invincibles aient étés vaincus, vous avez encore une bonne demi-heure. J'suis satisfait de voir qu'ils viennent de se prendre une bonne raclée. Trop d'estime ces têtes brûlées. C'est pour ça que je t'ai expliqué comment les battre.
- Quader : Tu es juste là pour éviter qu'on les achève désormais.
- Enry : Évidemment, je vous laisse partir, mais vous nous les laissez. J'ai hâte de voir la tête qu'ils vont faire quand ils vont voir que leurs propres armes ont servis à les battre.
- Solaris : Vous avez fait ça juste pour les voir perdre ?
- Enry : Hey ! J'y peux rien si ces deux gugusses ont gagnés trop de grades. Avec ça, ils pourront plus commander des soldats d'élites comme ils l'ont fait avec Zeller. Finis les embrouilles mec.
- Quader : Je ne comprendrais jamais comment on peut faire ça contre son propre camp.
- Enry : Tu sais, pour un soldat d'élite, c'est le pire que d'avoir des mecs entre Myrmellon, les chefs et toi-même; alors en hommage à mon pote, j'l'ai vengé, d'une certaine manière. Sors un dossier. Si j'pouvais avoir le registre des habitants de Xeltophamnie, c'est la seule close que je vous demande et vous pouvez déguerpir. J'ai prévenu les guguss de la Montagne de la Vérité de venir ici dans trois heures, donc y'aura pas de problèmes si vous partez maintenant.
- Ernest : Solaris, donne-lui le registre des habitants. Tu dois encore l'avoir sur toi non ?
- Solaris : Oui Le sort de sa veste a moitié déchiré. Bon il est un peu froissé.
- Enry : Merci. Plis délicatement le registre et le mets dans son dossier. Déguerpissez maintenant. Et rassurez-vous, il ne servira pas contre vous, mon dossier est confidentiel, et restera bien au chaud avec moi. J'ai ma grosse jeep qui est proche de la Zone Nord de votre Château, alors si je serais vous, je déguerpirais avec, car bon, une quinzaine de villageois à transporter, c'est pas super.
- Ernest : Nous y allons...Et je ne pensais pas dire ça à un ennemi, mais merci.
- Enry : Y'a pas de quoi, soyez heureux d'être tous en vie. Django et Sabata ont pris ses combats comme un jeu et ne vous avez pas tués, jusqu'à ce que t'arrives Quader. Même le mec qui s'est explosé dans la salle de jeu doit être encore en vie, allez jetez un oeil.
- Ernest : Il doit te rester un peu de poudre non Quader ?
- Quader : Ouais je sais, on va s'en servir pour transporter les autres. Et salut le glandeur.
- Enry : Glandeur...Glandeur...Plutôt keep cool non comme soldat hein ?
- Quader : C'est vrai. Encore merci. (Note de l'Auteur : Quader, reconnaissant ? WTF)
- Solaris : Au revoir Monsieur...

Quader, Solaris et Ernest, après plus d'une heure pour transporter tous les blessés, partent en direction du Nord, vers les Montagnes, pour aller rejoindre les autres villageois déjà partis, et fuir la Milice...Mais pour combien de temps ?

- Enry : Regarde au loin. Ah, ils sont enfin partis...C'est pas trop tôt... Son téléphone sonne. Oh, j'crois que j'suis bon pour le savon. (Allô ? Ouais je bosse là, excuse-moi...)
- Chef du Jugement 4 : (Enry, qu'est-ce que tu fous à Xeltophamnie !? Je le vois sur le GPS ! On est en pleine crise au Fort Cornichon ! J'ai pu te sauver là mais je ne pourrais pas faire grand chose quand le boss apprendra que t'es plus à Groslourtika...)
- Enry : (Relax, tout va bien, j'suis juste parti donner un coup de main.)
- Chef du Jugement 4 : (Je compte sur toi pour repartir très vite à Groslourtika après ça.)
- Enry : (Ouais pas de soucis chef.
- Chef du Jugement 4 : (Donc, quel est la situation ?)
- Enry : (Xeltophamnie existe plus, y'a plus d'habitants dans la capitale)
- Chef du Jugement 4 : (L'assaut est donc un franc succès ? Où est le Palladium ?)
- Enry : (Palladium ?)
- Chef du Jugement 4 : Il pense *C'est pas vrai...Ne me dis pas qu'il est pas au courant...* (Le Palladium que gardait Nounours devait nous servir pour le jour de la Prophétie. Il le garde normalement dans le coffre-fort à jouets de son château.)
- Enry : (Bah heu...J'vois que des décombres là, pas de château)
- Chef du Jugement 4 : (Il nous le faut absolument ! Nous voulions l'extraire de la mine de Sazanmarkassin, mais cela prendrait trop de temps pour le purifier. C'est pourquoi nous en avons besoin.)
- Enry : (Il sert pas à faire la poudre magique ce truc ?)
- Chef du Jugement 4 : (Si, cette poudre permet de décupler la puissance physique et de transformer des objets. Nounours avait un stock de poudre reçu de Margaux... Et nous avons trouvé d'autres applications à celle-ci pour nos armes.)
- Enry : (Ah ouais...Cool vos expériences de chimiste...)
- Chef du Jugement 4 : (Bref, je veux absolument que les troupes de l'Est asseyent Talaosis au plus tôt possible, pour ensuite traverser le désert et ainsi rejoindre les forces du Nord.)
- Enry : (Ok Ok...J'dirais ça aux deux frères quand ils se seront réveillés.)
- Chef du Jugement 4 : (Ils ont perdus ?)
- Enry : (Ouais, ils ont pris chers. J'ai viré les derniers habitants vivants de là, et faut qu'aille chercher le Palladium)
- Chef du Jugement 4 : (Tu as laissé les habitants vivants ? C'est quoi ce délire !?)
- Enry : (Bah à part Nounours et Charles, ils sont tous vivants ouais.)
- Chef du Jugement 4 : (Et tu as laissé Quader s'enfuir ?)
- Enry : (Il ne fallait pas ?)
- Noyart : (MER IL ET FOU !)
- Chef du Jugement 4 : (Pourquoi t'as laissé Quader à s'enfuir ! C'EST PAS POSSIBLE ! On va avoir de sérieux ennuis avec un combattant de sa trempe contre nous !)
- Enry : (Bah...Tant que j'suis là chef... Et puis...)
- Chef du Jugement 4 : (Non...Tu as encore utilisé les autres pour faire ce dont tu as envie...)
- Enry : (J'aime pas les deux gamins et leurs pistolets Jouet Club...)
- Chef du Jugement 4 : (ENRY ! C'EST ENCORE PIRE QUE JE L'IMAGINAIS !)
- Enry : (Vous savez, dans deux jours, tout sera fini. Evidemment je rentrerais avant la deadline, et je ferais mon stock de cigarette...)
- Chef du Jugement 4 : (TU NE COMPRENDS JAMAIS RIEN !!!)
- Enry : (Restez calme chef, je sais très bien que le projet RECONSTRUCTION est important pour le boss, Le Palladium et tout, mais qu'on laisse filer les villageois de Xeltophamnie ou non, de toute façon leur pays est désormais nôtre. Et même sans Palladium je suis sûre qu'on trouvera une solution. Django et Sabata seront sûrement remis sur pied dans quelques heures chef, par contre je sais pas si Tiramisu a des guns de rechanges.)
- Chef du Jugement 4 : (Dans trois heures, vous me faites un rapport de la situation et de l'avancement de l'armée dans le Désert.)
- Enry : (Très bien, ça sera fait. Et évitez de dire à Myrmellon que j'suis pas là-bas hein...C'est Django et Sabata qu'ont tout potés le cul...et....)
- Chef du Jugement 4 : (Je ferais en sorte de te couvrir un minimum. Au revoir.)
- Enry : (Ah heu salut...) Eteins le portable. Bon bah ça a été en réalité....Hum...J'irais réveiller les deux autres après que Tiramisu et les troupes partis assiégés les autres villes de Xeltophamnie soient arrivé, allons visiter les lieux...

Enry commença alors à visiter le Royaume en Ruines en attendant l'arrivée des restes des Forces de l'Est...

Reste pourtant plusieurs questions en suspens à propos de cet évènement : Pourquoi fait-il tout ça ? Où est donc Mikky et sa famille ? Comment vont réagir Django et Sabata ?

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